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Les premiers froids de l’hiver s’accompagnent parfois d’un brouillard givrant. C’est le moment de faire de belles images de paysages féeriques comme ce fut le cas à Fontainebleau il y a quelques jours (voir sur mon autre blog).Mais le givre offre aussi aux photographes une occasion presque unique de mettre en valeur les plus fins tissages des araignées. Ce n’est que grâce au givre que le nombre de fils pendant sur les branches est réellement révélé…
Des photo-graphiques que l’on peut exploiter tant en couleur qu’en noir et blanc.
Si l’on ne possède pas d’objectifs adaptés à la macrophotographie, il faudra sans doute passer par des recadrages parfois sévères pour isoler les dessins de ces toiles givrées.
L’idéal est de trouver un arrière plan assez foncé pour mettre en valeur la toile par son contraste. Si en plus vous avez la chance d’avoir un rayon de soleil pour les faire briller…
Le plus difficile reste donc de prendre la mesure (en mode spot) sur les fils.
Attention, avec un fort zoom, les vitesses peuvent être très basses si vous n'avez pas une optique offrant une grande ouverture (entre f1.8 et f4) ou une belle lumière. Le risque de flou devient alors important (si en plus il y a du vent… !). L’idéal est donc d’avoir un pied (je n’avais pas) pour soigner la mise au point et la profondeur de champ…
Pour cette série, c'est surtout le manque de lumière qui m'a le plus manqué et qui rend ces images très froides...
Attention, avec un fort zoom, les vitesses peuvent être très basses si vous n'avez pas une optique offrant une grande ouverture (entre f1.8 et f4) ou une belle lumière. Le risque de flou devient alors important (si en plus il y a du vent… !). L’idéal est donc d’avoir un pied (je n’avais pas) pour soigner la mise au point et la profondeur de champ…
Pour cette série, c'est surtout le manque de lumière qui m'a le plus manqué et qui rend ces images très froides...
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